Le livre blanc de l’UMQ : une synthèse claire et instructive qui invite à réformer le financement des municipalités. L’étalement urbain s’explique en partie par le fait que les municipalités tirent leur principale source de revenus de l’impôt foncier, donc des taxes perçues auprès des propriétaires résidentiels et immobiliers.
Les dernières tendances du marché locatif donnent-elles vraiment lieu de se réjouir? Le taux d’inoccupation des logements atteint 3 % au Québec, à l’automne 2012, selon la SCHL. Ce chiffre marquerait le retour à un équilibre entre l’offre et la demande sur le marché locatif. Traduction : les propriétaires d’immeubles parviendraient à louer la plupart de leurs appartements, alors que les locataires auraient désormais un peu plus de choix.